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La FGTB souscrit à ces actions pour une économie durable qui investit dans des emplois de qualité.



La FGTB dénonçait les abus dans le secteur de l’intérim à l’occasion de la 6e journée des Droits des Intérimaires. La FGTB veut l’interdiction des contrats journaliers dans le secteur de l’intérim et la mise en place de mesures strictes contre les discriminations.



La FGTB se réjouit que la ministre de l’Emploi, Joëlle Milquet, se prononce en faveur de mesures contre les contrats journaliers et la discrimination.



 En réaction à la journée d’action, la fédération des employeurs Federgon relativise l’ampleur du phénomène des contrats journaliers. Or, ses chiffres sont sous-évalués car il y a de nombreux contrats journaliers cachés. Mais même si l’on se base sur ces chiffres, on parle encore de 20.000 intérimaires occupés par des contrats journaliers.



Federgon affirme que les contrats journaliers sont une nécessité économique. Ce n’est pas un argument valable pour plonger 20.000 personnes dans une incertitude quotidienne. Et ce n’est certainement pas un argument valable pour engager des intérimaires avec des contrats journaliers pour des missions qui durent des semaines, voire des mois.



Les abus en matière de contrats journaliers ont assez duré. Ces pratiques inadmissibles doivent cesser.



Plus d’informations sur l’action: http://www.fgtb.be/CODE/fr/fram031.htm