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Le discours prononcé à l’Assemblée générale de CFDT Banques le 7 octobre abordait l’impact de la dimension européenne sur le travail des syndicats et des travailleurs individuels. Il examinait deux aspects. Tout d’abord, la manière dont les contextes économiques, juridiques et politiques dans les pays de l’UE se sont imbriqués les uns dans les autres et se sont fondus au sein de l’Union européenne. Ensuite, la manière dont les entreprises, en particulier de la finance, ont mis au point une approche commerciale qui est de plus en plus détachée de tout contexte national spécifique.
Aujourd’hui, l’UE est un quasi-pays. La politique intérieure et les relations industrielles nationales sont intrinsèquement liées dans toute l’Europe.
«En tant que syndicats», a déclaré Oliver Roethig, directeur d’UNI Finance, «nous devons voir l’angle européen de nos activités et unir nos forces pour façonner l’environnement européen en fonction de nos principes d’une société juste avec des emplois décents et des droits égaux pour tous.»
«UNI, ses affiliés et son secrétariat, ont deux tâches principales à assumer dans ce contexte:»
«Tout d’abord, défendre avec force les intérêts des syndicats dans la politique européenne, et ensuite, regarder les entreprises multinationales droit dans les yeux – tout comme les affiliés d’UNI le feraient vis-à-vis de la politique intérieure et des relations industrielles nationales.»
«Enfin et très concrètement, travaillons ensemble à soutenir la campagne d’UNI pour la vente responsable de produits financiers: en assurant la telle vente responsable de produits financiers, par des moyens politiques ou par les relations industrielles, nous parviendrons à donner aux clients de meilleurs conseils, ce qui signifie que nous instaurerons de meilleures conditions de travail pour les travailleurs de la finance dans toute l’Europe.»
Pour le discours en entier en anglais et en français, veuillez le trouver sous "related files".